Parce que chez ODOREM le lien avec nos clients nous tient particulièrement à cœur, nous publierons ici des entretiens avec certains d’entre eux.
Aujourd’hui, c’est Julie, décoratrice d’intérieur, qui se prête au jeu des questions.
- Comment est né votre intérêt pour le parfum ?
Enfant, j’étais fascinée par ma tante, très élégante, qui portait Aromatics Elixir de Clinique. Hormis ce chypre capiteux, elle possédait des boîtes anciennes en métal rouge, contenant toutes sortes de senteurs que j’aimais humer longuement. C’est elle qui m’a donné le goût de cette exubérance invisible qu’est le parfum en m’offrant mon premier flacon : Samsara de Guerlain.
- Comment est né votre intérêt pour le parfum ?
- Quelles sont les fragrances qui vous ont le plus marquée ?
Outre celle de ma tante, celles portées par mon meilleur ami : Rocabar d’Hermès et Egoïste de Chanel. Récemment, lors d’un séjour à Florence, j’ai pris une claque olfactive en découvrant les créations de Sileno Cheloni.
- Quelles sont les fragrances qui vous ont le plus marquée ?
- Que recherchez-vous dans un parfum ?
Un sillage marqué, qui révèle mon identité, appuie ma personnalité.
Cela dépend aussi des moments : le matin, je cherche une carapace, une protection pour la journée ; le soir, une senteur intime et apaisante, juste pour moi.
- Que recherchez-vous dans un parfum ?
- Parmi la sélection ODOREM quels sont vos coups de cœur ?
Relique d’Amour d’Oriza L. Legrand, une eau de parfum dont les notes d’encens me transportent. J’ai aussi le savon, qui embaume divinement ma salle de bains !
J’aime également beaucoup Cuir de Chine des Indémodables, adopté par mon compagnon : un sillage distingué et très original.
- Parmi la sélection ODOREM quels sont vos coups de cœur ?
- Pour conclure, que vous évoque ODOREM ?
Un lieu d’un autre monde, d’un autre temps… Un cabinet de curiosités où art et parfum se mélangent en harmonie, qui donne envie d’ouvrir les tiroirs, de fouiller… Une boutique dont le raffinement d’antan réveille et conjugue tous les sens !
- Pour conclure, que vous évoque ODOREM ?