JARDINS D’ÉCRIVAINS

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Il est des rencontres qui sonnent comme une évidence… Celle d’ODOREM avec
JARDINS D’ÉCRIVAINS relève assurément de celles-ci. Nous qui aimons associer évocations olfactives et visuelles, et qui chérissons la littérature, pouvions-nous ne pas croiser la route de la créatrice Anaïs Biguine ?

Tout commence à l’été 2011, quand Anaïs emmène ses filles visiter la maison de Victor Hugo à Guernesey. Subjuguée par ce lieu enchanteur, elle décide de concevoir une bougie odorante afin de l’immortaliser : ce sera le début d’une longue aventure olfactive. Complètement autodidacte, elle se forme alors au monde complexe des senteurs, mue par une infatigable curiosité et une soif de connaissance. Très vite, Anaïs se lance un nouveau défi en créant son premier parfum, George, hommage à George Sand, dont le succès entraînera l’élaboration d’autres fragrances.

Comme son nom l’indique, JARDINS D’ÉCRIVAINS puise son inspiration dans la littérature, première passion d’Anaïs. Telles des adaptations olfactives, chaque eau de parfum évoque un écrivain, un personnage ou une œuvre. On voyage ainsi du théâtre élisabéthain (Marlowe) à la Beat Generation (Howl, Junky), en passant par le romantisme (George) ou l’ère victorienne (Wilde). Orlando, lui, campe à merveille le protéen personnage imaginé par Virginia Woolf, abolissant les frontières du temps, de l’espace et du genre. Pour lui donner corps, Anaïs a formulé un somptueux élixir oriental, où les épices se mêlent d’ambre, de bois de gaïac et de baume du Pérou.

En complément des eaux de parfum, JARDINS D’ÉCRIVAINS propose également une ligne de généreuses Colognes (flacons de 300 ml). Là encore, la littérature infuse ces eaux de fraîcheur : L’Eau de Blixen, L’Eau de Tagore, L’Eau de Louÿs… Toutes se combinent parfaitement avec les eaux de parfum, livrant ainsi des associations uniques. Par exemple, L’Eau de Marceline et Gigi forment un merveilleux duo floral, dans lequel la tubéreuse chère à Colette se tempère de chèvrefeuille et de fleur d’oranger, rappelant ces vers de Marceline Desbordes-Valmore :


                                                  “Parfum, dont la douceur porte à la rêverie,

                                                   Étends-toi sur des jours que je veux retenir ;

                                                  Par toi, je plongerai ma mémoire attendrie

                                                 Sur eux, quand le présent sera le souvenir !”.

 

JARDINS D’ÉCRIVAINS, c’est la promesse d’un sillage loin des sentiers battus, d’une identité par-delà les modes et les clichés. A découvrir chez ODOREM !

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